Questionnaire de Proust
Le principal trait de mon caractère. : Le besoin d'être aimé, la curiosité.
La qualité que je désire chez un homme: son intelligence.
La qualité que je désire chez une femme : son intelligence.
Ce que j'apprécie le plus chez mes amis : l’honnêteté.
Mon principal défaut : l’inconstance.
Mon occupation préférée : l’écriture, le sport, la lecture.
Mon rêve de bonheur : que les dirigeants de la planète se rendent compte un jour qu’il y a d’autres voies que le libéralisme.
Quel serait mon plus grand malheur ? mourir sans avoir osé.
Ce que je voudrais être : quelqu’un qui va au bout de ses idées.
Le pays où je désirerais vivre : Je ne me vois pas quitter la Bretagne, ou alors pour la Pays Basque…
La couleur que je préfère : j’aime les couleurs vives, leur harmonie.
La fleur que j'aime : la rose, l’œillet.
L'oiseau que je préfère : l’épervier
Mes auteurs favoris en prose : Maupassant, Didier Daeninckx, Caryl Ferey, Dennis Lehanne et des dizaines d'autres…
Mes poètes préférés : Boris Vian, Verlaine.
Mes héros dans la fiction : Denys George Finch Hatton (Robert Redford) dans “Out Of Africa”.
Mes héroïnes favorites dans la fiction : Isabelle d’Angleterre dans « Les Rois Maudits », la version de 1971.
Mes chanteurs préférés : Bruce Springsteen, David Lee Roth (Van Halen), Téléphone et Jacques Higelin.
Mes peintres favoris : Renoir, Van Gogh.
Mes héros dans la vie réelle : Salvador Allende, Mohammed Ali.
Mes héroïnes dans la vie réelle : Indira Gandhi, Simone Weil.
Mes héros dans l’histoire : les députés de la Convention.
Plat et boissons favoris : le Couscous, le Chardonnay et le whisky d’Islay… mais pas ensemble
Ce que je déteste par-dessus tout : l’indifférence
Personnages historiques que je méprise le plus : Talleyrand
Le fait militaire que j'admire le plus : la paix
La réforme que j'estime le plus : l’abolition de la peine de mort, les congés payés
Le don de la nature que je voudrais avoir : celui de ne pas prendre de poids
Comment j'aimerais mourir : Enfin en paix avec moi-même
Fautes qui m'inspirent le plus d'indulgence : les fautes non intentionnelles.
Ma devise : s’interroger, cela ne vaut-il pas mieux que de marcher au pas ? Roland Moreno, Théorie du Bordel ambiant